j'etais deja venu commander mon modèle il y a quelques jours mais l'usine avait du retard et le garage n'avait pas de stock, me revoici donc pour venir chercher ma last dancer.... j'avais deja vus ce genre de moto à l'oeuvre et si j'arrive à activer le module de combat, j'aurais le modèle parfait pour mes opérations clandestine.
Le toubib était arrivé devant la jeune hôtesse du magasin, il lui adressa un sourire et commença son numéro. Il ne se sentait pas à l'aise dans les quartiers qu'il fréquentait avant et son envie de partir se faisait un peu plus forte à chaque seconde qui passait.
- Bonjour, je viens chercher une last dancer au nom de Jonathan Durling.
- Bien sur monsieur, votre véhicule est arrivé hier soir. Suivez moi donc, il vous reste un pou deux papiers à signer. J'ai crus comprendre que vous aviez déjà payé....
Effectivement, Henry avait deja payé pour cette moto, il avait même fait un "cadeau" au patron pour s'assurer que le véhicule serait encodé à une date qui correspondait à l’époque de sa vie ou il vivait encore dans bravo. En plus, il avait acheté le véhicule avec son ancienne identité. Personne n'irait chercher plus loin, ces crimes allait être commis avec une moto acheté par un médecin aujourd'hui mort et enterré. Bien sur, il avait dut se ré-entraîner à signer comme avant mais l'habitude etait tres vite revenue et le voila deja en train de signer les derniers papiers pour accéder à son bolide. Une fois cette étape terminé on lui donna les clés et l'amena vers son fidèle destrier.
L'opération avait duré moins d'une demie-heure et il était déjà sur la route pour retourner chez lui. La moto allait etre cacher dans l’entrepôt d'un ami qui avait trop de place depuis qu'on lui avait vendu sa collection de voiture. c’était un poivrot mais il aimait la mécanique et Henry savait que son engin allait être bien entretenu.
et dire que mon ancien travail est à quatres rues d'ici..... Vivement que je rentres parce que là, c'est vraiment ignoble de revenir ici.
Calico etait assez tendu d’être revenu mais au fur et mesure qu'il s'éloignait, son caractère calme reprenait le dessus.